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11 mars 2015

Le programme FIRE, fournit des subventions et des bourses...


Des PRIX seront accordées par le programme FIRE à des projets qui ont atteint les phases ultimes de leur mise en œuvre ou à des activités complétées, en ligne avec les catégories de financement et les critères d’éligibilité. Les bourses seront d’un montant maximal de USD 3000.

Le Secrétariat du programme FIRE recommande une lecture attentive des directives et conseils suivants pour une soumission réussie. Si vous avez des questions contenant votre demande, n’hésitez pas à contacter le Secrétariat du programme FIRE à tout moment.

Catégories 2015:
Innovation en matière d’accès: : La stimulation de la croissance des en Afrique requiert la disponibilité d’un mécanisme de mise en œuvre fiable et évolutif. Malgré les efforts considérables entrepris dans la région, le développement des infrastructures continue de poser problème, plus particulièrement dans les régions rurales. Celles-ci ont probablement besoin de solutions peu coûteuses, à faible consommation énergétique et d’entretien facile afin d’étendre l’accès fixe et mobile à travers la mise en place de nouveaux dispositifs techniques et organisationnels ainsi qu’une amélioration de la qualité d’accès axée sur l’accessibilité, le handicap et la diversité linguistique.

E-Développement:
Le développement, le déploiement et l’amélioration contenus, applications et solutions pour soutenir une diffusion opportune et pertinente de l’information à grande échelle à travers une large gamme d’infrastructures de réseaux et une variété de dispositifs.
Liberté d’expression: : Les initiatives liées à la liberté d’expression, à la d’association, à la protection de la vie privée, à la sécurité, aux droits des consommateurs, aux nouvelles formes de propriété intellectuelle dans la sphère numérique ainsi qu’à un plus large éventail de questions liées à Internet et aux droits de la personne.

Un prix special “Community Choice Award” sera attribué à la meilleure campagne de “Media Sociaux” (le projet qui aura le plus de votes de la communauté).

CANDIDATURES A PRESENT OUVERTES

Source: fireafrica.org

4 mars 2015

29 Africains figurent dans le classement «Forbes 2015» des milliardaires dans le monde




(Agence Ecofin) - 29 Africains figurent dans le classement «Forbes 2015» des milliardaires dans le monde, publié le 2 mars. Le nombre des personnes disposant de plus d’un milliard de dollars est resté identique à celui de l’année écoulée.

Le magnat sud-africain des mines Desmond Sacco et le l’homme d’affaires marocain Anas Sefrioui (immobilier) ont quitté le classement. Deux nouveaux africains ultra-riches ont, cependant, fait leur entrée dans la liste. Il s’agit du Tanzanien Mohamed Dewji (39 ans) dont le groupe opère dans le textile et les biens de consommation et du Nigérian Femi Otedola (50 ans) qui contrôle la compagnie pétrolière Forte Oil. Folorunsho Alakija (Nigeria) et Isabel dos Santos (Angola) sont les deux seules milliardaires femmes sur le continent.

Voici le classement des 29 Africains disposant d’une fortune de plus d’un milliard de dollars :

1) Aliko Dangote: 15,7 milliards de dollars (Nigeria)

2) Johann Rupert et famille: 7,4 milliards de dollars (Afrique du Sud)

3) Nicky Oppenheimer et famille : 6,7 milliards de dollars (Afrique du Sud)

4) Christoffel Wiese: 6,3 milliards de dollars (Afrique du Sud)

5) Nassef Sawiris: 6,3 milliards de dollars (Egypte)

6) Mike Adenuga: 4 milliards de dollars (Nigeria)

7) Mohamed Mansour: 4 milliards de dollars (Egypte)

8) Nathan Kirsh: 3, 9 milliards de dollars (Swaziland)

9) Isabel Dos Santos: 3,1 milliards de dollars (Angola)

10) Issad Rebrab: 3,1 milliards de dollars (Algérie)

11) Naguib Sawiris: 3,1 milliards de dollars (Egypte)

12) Youssef Mansour: 2,9 milliards de dollars (Egypte)

13) Koos Bekker: 2,3 milliards de dollars (Afrique du Sud)

14) Othman Benjelloun: 2,3 milliards de dollars (Maroc)

15) Yasseen Mansour: 2,3 milliards de dollars (Egypte)

16) Patrice Motsepe: 2,1 milliards de dollars (Afrique du Sud)

17) Stephen Saad: 2,1 milliards de dollars (Afrique du Sud)

18) Mohamed Al Fayed: 2 milliards de dollars (Egypte)

19) Folorunsho Alakija: 1,9 milliard de dollars (Nigeria)

20) Onsi Sawiris: 1,8 milliard de dollars (Egypte)

21) Aziz Akhannouch: 1,7 milliard de dollars (Maroc)

22) Allan Gray: 1,6 milliard de dollars (Afrique du Sud)

23) Miloud Chaabi: 1,3 milliard de dollars (Maroc)

24) Mohammed Dewji: 1,3 milliard de dollars (Tanzanie)

25) Samih Sawiris: 1,1 milliard de dollars (Egypte)

26) Sudhir Ruparelia : 1,1 milliard de dollars (Ouganda)

27) Femi Otedola : 1 milliard de dollars (Nigeria)

28) Abdulsamad Rabiu: 1 milliard de dollars (Nigeria)

29) Rostam Aziz : 1 milliard de dollars (Tanzanie)

A l’échelle mondiale, le magazine américain Forbes recense 1826 milliardaires, un record absolu depuis 30 ans. Ces milliardaires accaparent 7000 milliards de dollars, soit 10% de plus que l’an dernier.

290 personnes ont rejoint ce club. On y trouve aussi plus de jeunes : ils sont 46 à avoir moins de 40 ans, ce qui n’était jamais arrivé jusqu’alors.

Bill Gates reste l’homme le plus riche de la planète, un titre dont il a bénéficié 16 fois au cours des 21 dernières années. Sa fortune s’est encore accrue de 3,2 milliards de dollars sur un an, à 79 milliards de dollars), et ce malgré une donation de 1,5 milliard à sa fondation philanthropique (Bill & Melinda Gates Foundation). Le mexicain Carlos Slim conserve la deuxième place, et Warren Buffett revient à la troisième place, ravissant son titre au créateur de Zara, Amancio Ortega -désormais quatrième. Warren Buffett est d’ailleurs celui qui s’est le plus enrichi au monde l’an dernier, à raison de 14,5 milliards de dollars, grâce à l’explosion du cours de Berkshire Hathaway (+30 % l’an dernier). Le 5ème homme le plus riche de la planète reste Larry Ellison, le fondateur d'Oracle, avec 54,3 milliards de dollars.

Le fondateur de Facebook, Mark Zuckerberg intègre quant à lui le club des 20 plus riches au monde. Il a gagné 5 places par rapport à l’an dernier.

Le plus jeune milliardaire de la planète a 24 ans. Il s’appelle Evan Spiegel et il a créé l’application Snapchat, rachetée par Facebook l’an passé.

Le classement par pays fait ressortir que la bonne tenue du secteur des technologies et la hausse du dollar par rapport à l'euro ont renforcé la position des Américains dans ce classement: ils sont 536 à y figurer, suivis des Chinois (213), des Allemands (103), des Indiens (90) et des Russes (88).

Source: Agence Ecofin

Afrique : les jeunes entreprises à l'honneur

Le Point Afrique et le New York Forum Institute lancent le prix de la Jeune Entreprise africaine pour récompenser les meilleurs talents du Continent.

Thierry N'Douffou, inventeur de la première tablette éducative ivoirienne.

L'Afrique regorge de richesses agricoles et minières, mais elle est également pleine d'idées et de talents. A Nairobi, Lagos, Kinshasa, Douala ou Dakar, on voit toujours plus de jeunes lancer leur entreprise, des business plans se monter, des hubs d'entrepreneurs se former... D'ailleurs, ne constate-t-on pas aujourd'hui que le véritable secret du succès économique du continent lors de la décennie écoulée réside dans la volonté et la créativité de ses entrepreneurs ? Que la croissance annuelle de 5,5 % du PIB atteinte ces dix dernières années tient davantage aux produits transformés, semi-finis ou aux services qu'aux matières premières ?

En guise de récompense, le prix de la Jeune Entreprise africaine

Afin d'accompagner cette vitalité entrepreneuriale, Richard Attias, fondateur et organisateur du New York Forum Africa, et Le Point Afrique, l'édition numérique duPoint consacrée au continent et lancée en mars 2014, s'associent pour lancer le prix de la Jeune Entreprise africaine. Il s'agit de récompenser les plus belles réussites, de soutenir les initiatives les plus créatrices. Celles qui vont s'inscrire dans la lignée de Vérone Mankou, qui a conçu le premier smartphone africain, de Thierry N'Doufou, à l'origine de la première tablette éducative ivoirienne, ou de Natty Ngoy, qui a lancé la marque Inaden, dont les accessoires en cuir made in Africa sont fabriqués en Ethiopie.

Les révélations de la 1ère enquête sur la génération des 15-26 ans

Parce qu'il en faut du courage pour créer son entreprise, tant subsistent encore de nombreux obstacles ! Dans la première enquête sur la génération des 15-26 ans réalisée en 2014 par le New York Forum Africa auprès de 5 000 Africains originaires de 42 pays sur la cinquantaine que compte le continent, 56 % des jeunes interrogés ont indiqué avoir eu beaucoup de mal à trouver l'argent pour financer leur projet. Et seuls 12 % de ceux qui sont devenus entrepreneurs ont bénéficié de l'appui de l'Etat dans leur démarche. Le problème majeur rencontré par les apprentis entrepreneurs est l'accès au capital d'amorçage, ces tout premiers financements qui permettent de faire démarrer l'activité. Presque 75 % des jeunes ont indiqué du coup avoir eu recours à la famille ou à des amis pour les aider.

La volonté de soutenir les talents

Assurément, les décideurs politiques et économiques locaux doivent s'organiser pour conjuguer au mieux les exigences locales du développement économique et les aspirations mondialisées de la jeunesse africaine. Sans prétendre régler tous les problèmes rencontrés par les jeunes Africains qui souhaitent se lancer, le prix de la Jeune Entreprise africaine entend soutenir les talents. Une dotation de 100 000 euros, attribuée par la Fondation New York Forum Institute, sera répartie entre quatre lauréats, primés lors du prochain New York Forum Africa, qui se tiendra à Libreville, au Gabon, du 28 au 30 août 2015. Le Point Afrique fera évidemment une large place aux parcours et réalisations des entrepreneurs distingués.
Comment participer

Pour être éligible, deux conditions doivent être respectées : être une entreprise indépendante, au capital constitué à 100% par des ressortissants africains ; et avoir été créée depuis plus d'un an mais moins de trois ans. Les candidatures peuvent être déposées, à partir du 26 février, en cliquant ici.

Source: afrique.lepoint.fr

6 févr. 2015

Rencontre avec un futur stagiaire de Goldman Sachs, déjà 11 stages à son actif et 10 offres en poche…



La compétition fait rage pour obtenir une place en graduate programme dans une banque d’investissement. Si vous êtes candidat, sachez qu’au-delà d’un CV impeccable, il vous faudra démontrer une polyvalence à toute épreuve. Mais plus que tout, vous devrez prouver votre engagement pour une carrière dans les services financiers, pavée au préalable de multiples stages…

Comme nous l’expliquions il y a quelque temps, Haydn Pole, étudiant à la London School of Economics, avait déjà décroché 11 stages – en dépit de son jeune âge, puisqu’il n’est qu’un étudiant de deuxième année. Un autre cas similaire, en concurrence directe avec Haydn Pole, a toutefois attiré notre attention : Shuaib Chowdhary, également étudiant de deuxième année – cette fois à Cambridge. Il compte également 11 stages à son tableau de chasse.

À ce jour, Chowdhary a sévi comme stagiaire chez… Boston Consulting, Bain, McKinsey & Co, chez Barclays (deux fois, en banque d’investissement), Crédit Suisse, Rothschild, RBS, EY, Morgan Stanley et Slaughter & May. Il a également été un « ambassadeur » pour Citi au sein de son campus.

Tout comme pour Haydn Pole, la majorité des stages de Shuaib Chowdhary s’est limitée à des ‘spring weeks’ de cinq jours ou moins. Plus surprenant cependant, il a également réussi à effectuer un stage d’été chez Barclays alors qu’il n’était qu’en première année. Il aurait décroché ce stage suite à ses « excellentes » performances lors du spring programme de la banque.

L’été prochain, Chowdhary sera stagiaire chez Goldman Sachs. Et des deux, c’est bien Goldman qui a de la chance car si l’on en croit son profil LinkedIn, Chowdary a reçu des propositions de la part de « 10 banques d’investissement parmi 40 desks »

Chowdary et Pole apparaissent comme les meilleurs représentants d’une nouvelle tendance : celle du ‘super étudiant’ qui enchaîne un maximum d’expériences en banque à Londres. Si vous visez un stage d’été dans une banque d’investissement sans jamais avoir entendu parler de spring week, vous risquez d’être sérieusement pénalisé…

Source: efinancialcareers

30 janv. 2015

En France, bientôt des frais de scolarité plus élevés pour les étrangers?


Dans un rapport intitulé Investir dans l’internationalisation de l’enseignement supérieur, présenté le 27 janvier, France Stratégie, un organisme public de réflexion et de prospective placé sous l’autorité du Premier ministre français, propose d’instaurer des frais de scolarité beaucoup plus élevés pour les étudiants étrangers inscrits dans un établissement d’enseignement supérieur de l’Hexagone.

Cette mesure est présentée comme un moyen de financer l’internationalisation de l’enseignement supérieur français. Si les experts tiennent à préciser que cette manne financière ne doit pas conduire à une diminution des dépenses publiques équivalentes, mais doit être utilisée pour investir, le rapport évoque quand même « le défi financier dans un contexte de contraintes budgétaires ».

12 000 euros pour s’inscrire en master

Deux scénarios sont évoqués : l’un propose d’imposer des frais de 2 000 euros (21 600 dirhams, soit 20 % du coût total de la scolarité) pour les niveaux master et doctorat, et laisser les frais de licence très bas. Le rapport note cependant que cette alternative ne suffit pas à financer l’internationalisation de l’enseignement supérieure voulue.

L’autre scénario suggère carrément une augmentation à coût complet, mais sélective. Dans cette hypothèse, les étudiants étrangers paieraient ainsi 6 000 euros au lieu des 183 euros actuels pour leur inscription en licence, 12 000 euros au lieu de 254 euros pour un master et 15 000 euros au lieu de 500 pour une scolarité en école d’ingénieur. Les frais d’inscription pour les doctorants seraient maintenus à 388 euros, une manière d’attirer les étudiants les plus qualifiés, comme c’est le cas en Suède par exemple. Ce second scénario permettrait de collecter 850 millions d’euros par an.



Ce scénario ferait mécaniquement baisser le nombre d’étrangers inscrits les premières années, mais un rééquilibrage se ferait au bout de dix ans, d’après les estimations basées sur les comparaisons avec les expériences ailleurs en Europe.

Source: Telquel

27 janv. 2015

La belle histoire du jour : un an plus tard, un ex-chômeur recrute là où il a été embauché


Il y a un an, Alfred Ajani était prêt à tout pour trouver un travail. Ce jeune homme de 22 ans s'était donc posté, en costume-cravate, dans la gare de Waterloo, à Londres, muni d'une pancarte toute simple : "diplômé de marketing de l'université de Coventry, Demandez un CV". Une initiative qui a porté ses fruits, puisque le jeune homme audacieux a trouvé un travail rapidement, au sein du département des relations publiques d'une entreprise de recrutement, le groupe Astoria.
"Prenez des risques"
Celle-ci avait trouvé qu'Alfred avait fait preuve d'originalité pour gagner l'attention des médias et espérait qu'il fasse de même une fois embauché. Et ça n'a pas manqué. quelques mois plus tard, le groupe a lancé une vague d'embauche de nouveaux consultants. Et Alfred a décidé de descendre à nouveau dans la gare, cette fois muni d'une pancarte : "J'embauche".
Là encore, l'audace d'Alfred devrait payer puisque de nombreux médias ont relayé son initiative. Un coup de pub inespéré - et gratuit - pour sa nouvelle agence. "Le conseil que je donnerais à tous les diplômés serait de ne pas avoir peur de prendre des risques, disait, il y a un an, son nouveau directeur. Soyez prêts à vous vendre et à vendre vos idées."
Et avec un peu de chance, les futurs candidats pourront même être recrutés directement dans la gare. Les bureaux d'Astoria sont situés juste en face. 
Source: Metronews

22 janv. 2015

Les finalistes du concours Global Social Venture Competition (GSVC)



Sélectionnées parmi 140 candidats provenant des pays francophones d’Europe, du Canada, d’Afrique et du Moyen Orient, les 11 finalistes du concours Global Social Venture Competition (GSVC) présenteront leur projet le 5 mars à Paris, pour décrocher l’une des deux places à la finale mondiale qui aura lieu du 8 au 10 avril à l’Université de Berkeley, à San Francisco.

Innovation, ambition, entrepreneuriat, impact social … sont les maîtres mots de cette compétition exigeante, qui met en lumière les entrepreneurs sociaux de demain, aux quatre coins du monde !

Coordonnée au niveau international par Berkeley et par l’ESSEC, soutenue par la Fondation Deloitte sur toute la zone francophone, la Global Social Venture Competition (GSVC) est la seule compétition internationale de business plans à portée sociale et environnementale, dédiée aux étudiants et jeunes diplômés.

Cette année la GSVC ce sont :

11 équipes retenues et accompagnées par deux mentors professionnels et étudiants pendant trois mois

2 finalistes qui défendront à Berkeley leur projet …

25 000$ mis en jeu pour le premier prix!

Les 10 projets francophones finalistes de la GSVC

Parmi les finalistes, des projets à très fort impact environnemental comme Cophenol qui permet de valoriser les déchets de café grâce à un procédé chimique de bioraffinerie. 

BioPanneaux a conçu un procédé de valorisation de déchets, cette fois de coton et papier, pour la conception de panneaux isolants. 

Ecoco (Burkina Faso) propose un nouveau type coffrage de construction, conçu à partir de plastiques recyclés moins chers, plus légers, réutilisables jusqu’à 50 fois. 

Gold of Bengal valorise la fibre de jute en proposant le premier renfort technique de celle-ci, le "Pàt", capable de remplacer la fibre de verre dans un large panel d'applications.

Dans le domaine agricole, Senemar+ (Cameroun) propose un ensemble de solutions technologiques avancées pour la valorisation de l’agriculture rurale. 

Dans le domaine médical, Solar Smile fournit aux dentistes une valise dentaire fonctionnant à l’énergie solaire qui leur permettra de soigner les patients dans les endroits les plus reculés, non desservis par l’électricité. Unité Mobile d’Hémodialyse permet d’élargir la zone de couverture des soins en dialyse en proposant l’aménagement de semi-remorque en unités médicalisées mobiles.

Gifted Mom (Cameroun) a développé un kit diagnostic mobile, simple et innovant qui permet d’effectuer 15 tests diagnostiques pour femmes enceintes, nouveau-nés et personnes vivant dans des communautés pauvres et reculées. 

E-donor’s community (Liban) est plateforme qui met en contact des malades avec des donneurs de sang compatibles à l’aide d’un algorithme spécifique.
Ecoref embauche des personnes sans emploi pour la conception et la commercialisation de pots réfrigérants qui fonctionnent grâce à l’évaporation de l’eau. 

Enfin, Y Generation développe une nouvelle forme d’apprentissage avec coaching personnalisé et parcours pédagogique innovant pour améliorer l’employabilité de jeunes issus de milieux défavorisésdans les pays en développement.

Source: GSVC Francophone